28 mai 2012

Juste avant l'orage

et bien non, l'orage n'a pas eu lieu par ici, il n'a pas dévasté la colline aux coquelicots auquel je tiens  tant, ni les roses et leur parfum de darjeeling. En retenant mon souffle, j'observe ce monde parallèle qui se balance dans l'air léger et si doux de ce matin de Pentecôte...
pardon pour ces rectangles blancs qui perturbent les images, je n'ai pas encore trouvé la solution pour les supprimer!
 si quelqu'un a une idée je suis preneuse...


3 commentaires:

Suzâme a dit…

Ce petit monde de fleurs délicates et ce tableau me parlent d'une sensibilité qui apprivoise l'instant.

Voici un lien qui vous intéressera en souvenir de nos conversations:
http://joied-ecrire.over-blog.com/article-ne-dites-pas-que-je-pars-demain-105033411.html

asiemutée a dit…

Voila, les petits carrés blancs ont disparu, les coquins, et je peux écrire mon commentaire ;)
Les coquelicots sont si fragiles qu'ils n'auraient pas survécu à l'orage. Pourtant, sans pluie, il n'y aurait pas de coquelicot, et pas de nous non plus !
Je ne me plaindrai plus de la pluie : pourtant, qu'est-ce-qu'elle nous a embêtés durant tout le mois de mai.
Enfin, le vrai temps estival est arrivé, le temps des bains de mer, un peu frisquets, mais les meilleurs sans aucun doute avant que n'arrivent les touristes ...
Je t'embrasse ma chère Béa.
Domi

Mlle Paradis a dit…

coucou! je suis tres en retard ...... ces fleurs sont si jolies et pleines de lumiere. xo!